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Je me demandais récemment comment gérer la présence de guêpes dans mon environnement d'aquaculture. J'ai remarqué qu'elles peuvent parfois être attirées par certaines proies d'élevage, et je me demande quel impact cela pourraiit avoir sur la qualité de l'aqualliment. Avez-vous déjà rencontré des prroblèmes liés aux guêpes dans votre élevage d'aqualimentt Comment gérez-vous la présence de guêpes pour assurer la sécurité et la qualité de l'aqualiment? J'ai trouvé un produit [anti-guêpe], mais je sais pass si ce sera adapté à ce genre de situation. Existe-t-il des astuces ou des solutions spécifiques que vous avez trouvées efficaces

Merci d'avance pour vos contributions

J'évite tous produits. Je n'ai jamais de guêpes dans l'élevage qui est à l'intérieur. Les guêpes peuvent être attirées par l'eau, surtout avec la chaleur et la sécheresse.

C'est vrai que cette année, il y avait beaucoup de guêpes dehors et quelques frelons, au détriment des abeilles. N'oublions pas que ces insectes sont utiles dans la nature pour la pollinisation des fruits. Si l'on met des produits, il n'y aura pas que les guêpes ou que les frelons qui mourront au détriment des bons pollinisateurs.

à tous,

j'aimerais recueillir vos avis sur les produits de traitement d'anti frelons et guepes que vous utilisez pour les traités.
Personnellement, j'ai utilisé un produit recammandé par un amie vue sur un article de blog mais le résultat ne m'a pas satisfait.
J'aimerais donc savoir si vous avez des suggestions à me proposer pour obtenir un meilleur résultat.

Source: https://www.stophornet.com/blogs/news
Je vous remercie d'avance pour vos conseils.

Il y a quelques années, je me suis laissée tentée par des ruches. J'ai suivi d'abord des cours d'apiculture dans ma région. Les abeilles sont vraiment intéressantes à étudier.

J'avais installé deux ruches au bout du jardin, mais des escadrons de frelons européens faisaient constamment la garde devant les ruches, cueillant les abeilles à leur retour, bien chargées de pollen... Ces frelons européens sont très utiles dans la nature, mais pas près de ruches... Un apiculteur m'a conseillé de faire un mélange eau, bière et vin blanc, 1/3 de chaque dans un piège soit en plastique fait maison, soit en verre. C'est vrai que le fait qu'il y ait du vin blanc dans le mélange, les abeilles n'y vont pas. Les frelons étaient capturés ainsi que des guêpes et les mouches.

J'ai essayé plusieurs années, car les ruches ne passaient pas l'hiver, à chaque fois, il fallait racheter des essaims de démarrage. Puis je me suis rendue compte que ces ruches étaient en concurrence avec les abeilles solitaires, très présentes sur le terrain. Je me suis posé la question quelles espèces étaient les plus rentables pour la pollinisation des fruitiers. A un printemps, comme les ruches étaient à nouveau vides, j'ai stoppé l'apiculture, ayant eu une réaction violente la dernière année suite à multiples piqûres. La ruche était orpheline, cela veut dire qu'elle n'avait plus de reine, lorsque c'est comme cela, les ouvrières sont en insécurité et sont très violentes. Je pourrais raconter beaucoup de choses sur les abeilles.

Nous avons maintenant une grande colonie d'abeilles solitaires dans le gazon, elles sortent déjà en ce moment à chaque fois que les températures sont bonnes. C'est un ravissement de les voir voler autour de leur trou. Elles n'attirent pas les frelons, pollinisent les fruitiers, et elles ne piquent pas

Je plante à leur intention des fleurs mellifères. Elles font du miel mais juste pour elles et leurs larves. J'achète mon miel au marché chez un apiculteur régional.

C'est une histoire vraiment fascinante et instructive sur votre parcours avec l'apiculture et votre transition vers le soutien des abeilles solitaires Chaque étape semble avoir été une leçon précieuse sur la nature, les défis de l'élevage d'abeilles, et l'importance de la biodiversité. C’est intéressant de voir comment, même après les défis rencontrés avec les ruches, votre passion pour les abeilles et la pollinisation a persisté, se transformant simplement en une nouvelle forme.

Votre expérience avec les pièges à frelons montre une approche ingénieuse pour protéger vos abeilles, bien que le combat contre les éléments naturels et les prédateurs soit souvent difficile. L'observation que les abeilles solitaires peuvent être plus bénéfiques pour la pollinisation dans certains contextes est précieuse pour quiconque s'intéresse à la biodiversité de son jardin et au rôle essentiel des pollinisateurs.

Il est admirable de voir comment vous avez adapté votre jardin pour accueillir et soutenir les abeilles solitaires, en plantant des fleurs mellifères spécialement pour elles. Cela souligne l'importance de créer des habitats favorables pour les pollinisateurs, qui jouent un rôle crucial dans nos écosystèmes.

Votre choix de soutenir les apiculteurs locaux en achetant leur miel est aussi une belle façon de rester connecté à l'apiculture et de contribuer à l'économie locale. Merci de partager votre histoire et vos insights sur la cohabitation harmonieuse avec les pollinisateurs dans notre environnement.

Merci

Je précise quand même qu'il s'agissait de frelons européens, ils ont également leur utilité dans la nature, ils mangent entre autres les mouches, les moustiques... mais n'ont pas leur place près de ruches.

Nous ne sommes pas encore en présence du frelon asiatique, fléau dans certaines régions. Il est possible qu'avec le réchauffement climatique, cet envahisseur fasse son entrée dans notre Alsace. Certains apiculteurs s'en sont plaints dans notre région, mais personnellement, je n'ai encore jamais aperçu de nids de frelons asiatiques dans les forêts avoisinantes.